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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 10:23

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Les enfants sociaux

Assumer ses conneries.

L'histoire d'une goute d'eau

L'important c'est pas la cuite, mais l’abrutissage

Les gens en retard...

 

Ah, la nostalgie, j'ai adoré être un enfant, certes cette adoration s'est arrêté dès l'âge de 5 ans, lorsque l'on m'a envoyé faire des tests pour savoir si j'étais débile mentale, que j'ai du aller dans un centre pour mettre des cubes dans des trous carrés et dessiner des bonhommes sans bras devant une psychologue à la main tremblante, paniqué de me voire abandonné ici, dans l'anti pot de chambre du diable...Avant que cette expérience ne me persuade que j'étais fou durant trois années de dépression à l'école primaire, ou ma réponse à se désarrois était bien souvent le fait de frapper mes petits camarades, j'ai eu l'impression d'être heureux. Oui, de ne me soucier de rien, de ne pas avoir de responsabilité, de laisser ma créativité s'exprimer sans contraintes et sans appréhension des normes sociétales, ça me plaisait bien à l'époque..

Mais comme le dit une amie à moi, "toi même tu ne sera plus jamais un enfant. Donc plus jamais tu ne sera considéré comme irresponsable, ni au yeux de la société, ni aux yeux de quelques proches ou être humains que ce soit. Genre, ça fait chier mais c'est le cours naturel des choses. Un jour on est plus des enfants. La contrepartie d'avoir le plaisir d'être irresponsable quand tu es enfant, c'est que t'as le choix de rien. Tu fais ce qu'on te dis de faire. Quand t adulte tu fais tes choix et la contrepartie c'est la responsabilité qui découle de tes choix. Je dis pas que c'est bien ou mal. C'est juste un fait ! Au final ce qui est cool c'est que maintenant t libre de tes choix. "

Et elle a raison, à force de déclamer sur mon blog que l'on vit dans une société de moutons, je me rend compte que mon plus grand fantasme est d'en redevenir un, comme quand j'étais enfants...Avoir conscience de pouvoir faire ses propres choix est grisant, mais ça fatigue et au bout d'un moment, on a la faiblesse d'en avoir marre. mais il ne faut pas, il faut se reposer, mais il faut ensuite repartir et lutter contre l’oppression dont on est victime. C'est finalement facile de faire ce vers quoi on nous amène, ce qui arrange la société bergère de ses moutons...C'est facile de se laisser bercer au gré du courant dans lequel il est commode de se laisser glisser, mais il est bien plus intéressant de vivre en menant sa barque, pour découvrir de nouveaux horizons que ceux de l'univers normé dans lequel on nous maintient. Après tout, Christophe Colomb aurait-il découvert l'Amérique s'il avait suivi les règles conventionnelles de navigation de l'époque ? Vous allez me dire, cela aurait peut-être arrangé quelques indiens...Ce qui montre que l'on peut s’ouvrir l'esprit au delà des normes, mais rester néanmoins un connard...

Alors, c'est bien beau d'être nostalgique de l'enfance, mais l'enfance est un truc bon pour les enfants, l'être à l'âge adulte est un truc à chier, en être nostalgique est un truc à la con. On peut en apprécier les bons souvenirs, en tirer les leçons, en garder l'amertume parfois, mais rester dans l'enfance est une attitude réactionnaire et les réactionnaires sont des cons..Il vaut donc mieux ne pas l'être, ou ne pas le rester...


25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 08:54

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Le débat sur les radars automatiques...

Fukushima..L'opinion d'un scientifique

Un conglomérat de reste...

DSK et le cul...

 

Ah ces cher conducteurs, vous savez, ceux qui sont bien sous tout rapport jusqu'à ce qu'il prennent le volant et qu'ils se transforment en blaireaux trisomiques, Klaxonnant à tout va, râlant comme des malades, répondant aux queues de poissons par d'autres queues de poisson, dans un concours du qui sera le plus stupide. Oui, vous les connaissez tous ces gens là, ceux qui roulent à 100km/h en ville et à 200 sur autoroute, qui ralentissent dès que leur détecteur de radar les siffle' et qui s'en tapent de savoir s'ils mettent la vie des autres en danger. L'important, c'est qu'ils soulagent leur vie frustrante en se comportant à la Mad Max au volant. Ils ont l'impression que leur véhicule est un espace de liberté, mais ils ont des responsabilités, la responsabilité de leur vie, de celles de ceux qu'ils transportent et celle de ceux qu'ils croisent.

Excusez moi de vous mettre au courant, mais la plupart des gens roulent d'une façon tout à fait inconsciente. Il vaut mieux leur imposer des règles parce que je n'ai pas l'impression que c'est d'eux même, qu'ils vont réfléchir au danger que représente leur véhicule et leur comportement au volant.

 Pourquoi ces gens se fâchent-ils quand on veux enlever les panneaux signalant les radars et interdire les détecteurs de radar ? Parce qu'à cause de ses nouvelles règles, il seront obligé de se conformer au code de la route tout le temps et ne pourront pas être prévenus à l'avance en cas d'infraction. Donc ils risquent de devoir subir les conséquences de leurs actes eux même, avant de les faire subir aux autres, ce qui parait contre nature à tout individualiste égoïste.

Maintenant, a la vue du tollé que la suppression des panneaux signalant les radars automatiques a suscité chez les gros beaufs d'automobilistes et chez les députés UMP qui espèrent une place potentielle dans les grandes entreprises automobiles, au cas ou leur mandat ne serait pas renouvelé, le gouvernement recule...Et oui la formule est simple, prenez des automobilistes qui ne pensent qu'à leur confort de conduite et des lobbys industriels puissants, en collusion avec le personnel politique et vous obtenez des réformes nécessaires, comme celles rendant obligatoire de brider les moteurs ou de souffler dans un alcotest pour démarrer sa voiture, impossible à mettre en œuvre. Et oui, nos politiciens carriéristes ont besoin de l'appui des beaufs, pour voter pour eux, ainsi que de l'appui des puissants, et des lobbys, pour asseoir leur pouvoir politique.

C'est comme cela qu'une montagne peut accoucher d'une souris et que l'on installe à la place des panneaux signalant les radars, des radars pédagogiques, indiquant la vitesse du véhicule, sans sanction en cas de dépassement de la vitesse autorisée. Comme ça, on aura droit à de beaux concours de vitesse pour tester son moteur de berline rutilante...

Enfin, n'oublions pas que le problème de la signalisation routière n'est certainement pas le problème le plus grave du monde en ce moment, tout comme l'affaire DSK..Et pourtant, en ce moment, on ne parle que de ça dans les médias..

Avis de recherche, nous avons perdu toute information sur le Japon et la Libye, si vous en retrouvez, merci de nous en informer sur le Gustavson's Blog...

23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 13:47

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Les paquets de clopes qui font peur...

Le retour du pouvoir d'achat

Fukushima..L'opinion d'un scientifique

 

Dans la série des cache misères politico médiatiques, je vous présente le débat contre la suppression de la signalisation des radars d'autoroute. Nouvelle stratégie électoraliste de notre ami Nicolas Sarkozy, le recentrage du débat pré campagne électoral se fait aujourd'hui autour du sujet de la sécurité routière. Et oui, ce domaine était encore bien le seul, ou les chiffres du gouvernement de droite actuel, n'étaient pas trop mauvais. Mais voilà, depuis quelques mois, les accidents mortels sur la route repartent à la hausse et le gouvernement se devait de réagir, pour avoir au moins un argument en sa faveur lors des débats prochains, ou le bilan de la politique de Sarkozy sera forcément évoqué.

Et c'est toujours la même chose, pendant que l'on parle de ça, on ne parle pas d'autres choses. Les médias ont du se dire que l'affaire DSK allait s'épuiser dans l'attention des masses populaires et qu'il fallait rapidement trouver autre chose. Alors, aidé du gouvernement qui lança une mesure dont il savait qu'elle allait faire parler et râler, les gros beaufs d'automobilistes, (sachant que les beaufs sont nombreux, que beaucoup sont en plus automobilistes), il paraissait évident que la suppression des panneaux de signalisation des radars automatiques, allait faire du bruit et être allègrement couverte par les médias. Et puis, si ça n'occupe pas tous les écrans et les pages de journaux, on pourra toujours compléter par un peu de Roland Garros.

Pour revenir au fond de ce débat insipide, je dirais que pour faire qu'il y ai moins d'accident sur la route, il faudrait commencer par brider les moteurs des voitures que l'on fabrique. C'est quand même fou que les routes ont des limitations de vitesse et qu'on vende des voitures qui n'en ont pas. De la même manière, il est fou qu'on ne rende pas obligatoire le fait de devoir souffler dans un alcotest avant de démarrer sa voiture. Mais voilà, le lobby des industries automobiles est très puissant et ne permet pas aux gouvernements de faire passer de telles mesures, tout en collusion qu'il est avec ses membres les plus influents.

Dans cette affaire, il y a aussi les gros beaufs qui râlent. Eux, ils aiment bien rouler vite pour faire les cake avec leur caisse de Jacky. Il se foutent bien des morts qui sont dus à la vitesse sur la route, en plus de la pollution supplémentaire, que le fait de rouler vite apporte à notre atmosphère...Ils privilégient leur petit plaisir de tailler la route en toute inconscience. Evidemment, quand on veut interdire les détecteurs de radars et les panneaux les signalant avant de passer à côté, cela équivaut pour eux au fait qu'ils devront se conformer aux limitations de vitesse tout le long de leur trajet et qu'ils courront perpétuellement le risque de se faire choper en cas de dépassement.

Tout ceci arrange aussi l'état, qui pourra se faire plus de blé, en chopant plus de personnes en excès de vitesse. Est-ce que tout ceci fera diminuer le nombre de morts sur la route ? Surement, si les gens osent moins rouler comme des tarés, mais le but du gouvernement ici, n'est pas de sauver des vies, mais de sauver ses chiffres concernant la sécurité routière...

Voilà, ici, les gros beaufs d'automobilistes, qui ne sont pas foutus de respecter les limitations de vitesse sur la route, sont les dindons de la farce. Étant trop cons pour se conformer seul à une règle faisant appel au bon sens de la raison humaine, il aurait fallu les forcer à le faire en amont, en bridant les moteurs des voitures qu'ils conduisent. Mais l'état aura préféré ici, la répression lucrative, à la prévention en la matière. C'est un peu un principe dans les politiques néolibérales...Ce principe fonctionne également dans bien d'autres domaines...On sait que les gens font, on les laisse faire et ensuite on les chope quand ça rapporte...Malin !

19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 13:27

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La roue tourne...

L'anti snob

Des stries dans la purée...

 

Les groupements c'est chiant...
Les groupements, c'est souvent des gens que l'on côtoie, avec qui l'on participe à des projets ou des activités. Au début, on a envie de participer, de bien faire, d'impulser son énergie pour le bien collectif. Et puis le temps passe, les gens vivent et l'on s'aperçoit de plus en plus de leurs défauts, de ce que l'on aime pas en eux. Parfois on a aussi de bonnes surprises, mais bien plus rarement.

Alors, on tente d'accepter ce qui nous dérange, nous irrite chez l'autre. On essaye de prendre du recul sur l'irrationalité de son énervement, pour mieux comprendre comment les autres en sont venu à nous énerver, voire nous stupéfier par l'étalage public de leur connerie.

A bout d'un moment, en apprenant à mieux connaître les autres et à mieux se connaître soit même, dans nos relations avec les autres et si tous savent prendre le recul nécessaire à leur propre compréhension et à celle des autres, on finit par surmonter les différences de caractère, de comportement et d'appréhension du monde de chacun.
Si ça n'est pas le cas, on trouvera les autres de pire en pire, exacerbant de plus en plus ce que l'on aime pas chez eux, sans qu'eux même puissent comprendre que leur attitude, analysée dans ses détails par ceux qu'elle énerve, puisse être susceptible d'énerver quelqu'un. Alors, se sentant plus à l'aise, connaissant les autres depuis plus de temps, chacun désinhibe sa stupidité, peste de plus en plus sur les autres, jusqu'à ce que la bulle de mensonge et de non dit éclate.

Chacun se dira alors ses vérités et d'autres ne donneront plus signe de vie du jour au lendemain. On aura alors la nostalgie d'avoir fait quelques trucs, que l'on aurait pas pu faire seul et l'amertume du fait que, par le cloisonnement et la non ouverture des personnes participant au projet vers les autres et vers d'autres idées, ce dernier n'ai pas pu aller plus loin.

Tous les projets n'aboutissent pas, parfois on les voit arriver à leur terme. Le projet c'est alors heurté à ses propres limites ou aux limites de ses créateurs, collaborateurs et de leur cohésion collective. C'est comme ça, on peut s'acharner et arriver à surmonter les choses, mais parfois, il faut aussi savoir passer à autre chose...Tout dépend...

18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 09:40

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Des stries dans la purée...

Un conglomérat de reste...

Salaud d'assistés : les théories de Vauquiez, de l'UMP et du néolibéralisme vues par les cons...

 

On dit souvent que la roue tourne, ben oui, c'est une roue, elle tourne. On a beau y mettre des cales, les cales c'est provisoire, les cycles, c'est provisoire, ils passent la roue les écrasent au sol, quand le chariot avance. Les cycles sont la sédimentation, aplatie par toutes les roues qui passent dessus. La sédimentation à fait de notre planché, ce qu'il est aujourd'hui et continuera à aplatir les cycles futurs, pour en faire ce qu'il sera demain. 

Alors on tente de nous amener à penser en terme de situations établies, les situations établies, c'est bien commode pour ceux qui les établissent, pour ceux que ça arrange qu'elles soient établies comme ça. Mais la roue tourne et ils font tous semblant de ne pas en avoir conscience.

Alors on croit tous, dominant et dominés, à l'absurdité du monde que nous nous sommes construit, dans la soumission ou dans le pseudo contrôle, chimère du narcissisme humain. Ici la nature gouverne les insectes qui l'habitent et les insectes pensent que la nature se limite à leur termitière. Mais un coups de vent et tout s'envole, les rêves, les illusions de croire que notre image est celle de tout et de tous.

Une société qui se fou de tout ce qui sort de ses normes, de tout ce dont elle ne se préoccupe pas. Mais ses préoccupations sont tellement superficielles et cette superficialité prend tellement de place dans l'échelle de ses préoccupations, qu'elle masque tout le reste des choses qui devraient être prioritaire, si cette société fonctionnait d'une réelle façon rationnelle. Mais non, elle est absurde, elle a posé ses fondations sur un château de carte, un château avec ses nobles et ses pouilleux, ou tout est a sa place, ou les moutons sont bien gardés.

Mais la roue tourne et comme le disait le célèbre philosophe Jesus Christ, "les premiers seront les derniers...". Un jour les moutons monteront dans les donjons et les aristocrates oligarques iront braire dans la prairie...Mais un jour aussi, ce château s'effondrera sur tout le monde et tous auront bien l'air con d'avoir vécu dans une bâtisse fondé sur un château de carte...

La roue aura tourné, d'abord pour les humains dans leur rapport à la domination entre eux, puis pour les humains tout court, dans leur rapport à la domination face à la nature...

Ne pas voire que la roue tourne, est nier l'existence de la roue. Une roue est faite pour tourner, pour nous transporter, nous faire être en mouvement, elle n'est faite que pour ça...Alors elle tourne et nous avançons à sa vitesse.

14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 09:10

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Les français sont frileux à l'idée de changer d'entreprise ?

Exclusion par le travail..

Sarkozy est aussi un victime !

DE LA DROITE AU FASCISME : chronique de la pensée commune de la culture dominante

 

Un jour, il faudra quand même que ceux qui s'accaparent les bénéfices du capital, fruit de la production des travailleurs exploités et lésés, cessent de vouloir toujours aller plus loin dans l'esclavagisme des peuples !

 

Mon petit Laurent Vauquiez, enfant de la bourgeoisie, qui n'aurait jamais eu aucune chance dans sa vie de finir RMiste, au vu de ses potentielles ressources familiales...Allons plus loin dans ton raisonnement : on devrait forcer tous les français au RSA à travailler 35...euh, 39h pardon..gratuitement. Et puis merde, on a qu'à rétablir l'esclavage officiellement, ça sera plus pratique !


Comme ça, ces esclaves pourraient prendre le travail d'autres potentiels actifs, qui finiraient donc au chômage, puis au RSA et pourraient alors, à leur tour, travailler gratuitement pour l'état néolibéral UMP...


Et pour bien punir ces profiteurs d'assistés, qui sucent le fric des travailleurs payant leurs impôts, on ne leur donnerait même plus de fric, mais des tickets de rationnement, pour qu'ils puissent quand même se nourrir et avoir juste l'énergie nécessaire pour travailler gratuitement et avoir bien honte d'être assistés...


Opprobre sur la assistés faits néants, vive la droite bien pensante de la méritocratie oligarchique ! Comprenons leur message d'alerte. Point de partage, point de redistribution sociale, juste de la méritocratie d'héritage de situation ! Ils en ont marre et nous et nous len disent. Prenons modèle sur eux et devenons de gentils bourgeois, qui en fait n'en sont pas mais rêvent de le devenir afin de suivre le modèle commun de réussite social. Protégeons notre situation de soit disants bénéficiaires du capital et protégeons nos acquis de toute entrave solidaire, gardons nos biens précieusement, quitte à laisser crever tous ceux qui nous cotoieraient et auraient eu moins de chance que nous...Nous en avons marre de ces profiteurs qui ne foutent rien de la journée en bénéficiant des revenus de notre travail de bon citoyen docile et ambitieux d'être plus suce boule que les autres...Lien : Les suces boules

Nous ne cherchons pas a connaître les conditions dans lesquels et les raisons pour lesquelles les bénéficiaires d'allocation sociales en bénéficient. Nous les emmerdons simplement, dans un monde ou c'est la loi du chacun pour sa gueule, nous militons pour chier sur les autres, pourvu que l'on puisse bénéficier de tout lze confort nécésssaire, pour voire les autres galérer, jusqu'à en crévé de stress et de précarité, bien à l'abri derrière leur écran plat.

 

Voilà la société acrtuelle et voilà les moutons qui perpétuent le diviser pour mieux régner sociétal...Lien : Ceux qui défendent le système

11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 16:18

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Quelques chiffres sur les musulmans en France...

La montée du Front National...

 

Aujourd'hui, on m'a parlé de ces petits voyous qui squattent en bas des immeubles de cité, à tenir les murs ou à vendre du shit aux clients de passage. Ceux là même qui ont grillés leur scolarité à rien foutre en classe en foutant la merde, empêchant souvent les quelques élèves sages qui n'auraient pas été mis dans les classes des fils de prof, de travailler. Ceux là même qui ne trouveront pas de travail sans formation, sans diplôme et surtout avec une gueule souvent un peu trop bronzé ou une apparence trop "quartier", ainsi qu'une adresse postale qui ne convient pas, pour trouver un emploi de merde, sans devoir pour cela s'acharner comme des malades.

Alors ils tiennent les murs, à 30 ans, ils habitent encore chez leurs mères, il n'ont pas de nana, sont souvent puceaux jusqu'à très tard, parce qu'il n'ont pas appris à séduire autrement une "meuf", qu'en la sifflant et en la traitant de "sale pute"..
Ils vivent chez leur mère, qui les a souvent élevé seule, le père n'assumant pas son rôle, ou travaillant à l'usine toute la journée et rentrant trop crevé pour assumer tout rôle éducatif..En effet, en bossant un moment dans un établissement de quartier classé ZEP, j'ai pu constater que les situations familiales des gamins que j'avais à ma charge étaient souvent très précaires et que dans une bonne proportion des cas, la mère élevait seule ses enfants, ça n'est qu'une constatation. Leur mère qui traine seule des sacs de patates au marché, alors que leurs grands fils, en pleine force de l'âge, continuent à trainer en fumant des bédos. Évidemment, c'est loin d'être le cas de tout le monde et la grande majorité des familles modestes issues de banlieues, sont des familles tout ce qu'il y a de mieux, qui élèvent leurs enfants d'une façon aussi exemplaire que les familles moins modestes, habitants d'autres quartiers...

Quand on ne voit pas plus loin que le bout de son nez, on se dit que ces jeunes qui trainent n'ont pas envie de réussir dans la vie et qu'on ne peut pas les forcer à le vouloir. Quand on réfléchi un peu plus intelligemment et qu'on ne tente pas de faire de transformer des conséquences des problèmes sociaux, en cause, on voit les choses autrement...

Ici, nous avons à faire à des jeunes de quartier, ils sont souvent issus de familles monoparentales ou la mère est souvent la seule présente. En ce qui concerne les garçon, leur virilité masculine se fait, non pas en prenant un père absent comme exemple, mais en cherchant dans les phénomènes de bande, souvent depuis tout jeune, le moyen d'expression de leur identité masculine. Issus des quartiers, avec une mère qui bosse pour nourrir la famille, l'enfant se trouve rapidement livré à lui même. Entouré de beaucoup d'autres enfants dans le même cas, dans un quartier concentrant les populations pauvres dans des tours infestées de cafards, loin des centres villes et de leurs activités...Bref, ou il ne fleure pas le bien être et le bien vivre ensemble, l'enfant sera plus amené à trainer, à faire des conneries, à suivre une bande ou il cherchera quelques repères dont il a besoin et qu'il n'obtient pas dans les cadres de la famille traditionnelle. Il sera plus amené à le faire que s'il est issu d'une famille que l'on dit "équilibrée", avec les deux parents qui peuvent jouer leur rôle éducatif, qui peuvent les aider à faire leur devoir, qui savent ce que leur enfant fait dans la journée, qui font des activités avec lui, qui veille à son éveil, à son épanouissement et qui tentent de facilité son apprentissage de la vie en société...Je dis bien, "il sera plus amené", ce qui veut dire que c'est loin d'être une obligation. Tous les jeunes de quartiers issus de familles monoparentales ne vont pas devenir de petit voyous..

Après avoir incité un enfant, puis un jeune, à se complaire dans une marginalisation, une exclusion, lui donnant moins de chances qu'aux autres de pouvoir réussir une vie en société accomplie, dans le travail, la famille, la patrie...(cela ne vous rappelle pas quelque chose ?), il ne faut pas s'étonner qu'un jeune homme de cité fasse ce que la société attend implicitement de lui et n'ai pas la force de caractère pour faire autre chose...

En ce qui concerne les filles, elles sont souvent amenées a mieux réussir leurs études que les garçons, études étant pour elles un bon moyen de se sortir de leur condition. Mais la domination masculine est très forte dans la mentalité de quartier et il arrive que cette dernière issue d'un certain sexisme ambiant, empêche les études de certaines jeunes filles de quartier, d'arriver à leur terme. De plus, on constate une accentuation de la proportion de filles qui adoptent des comportements traditionnellement masculin, en suivant de même, des phénomènes de bande, de violences, menaces, bastons...Bref, en prenant aux mecs, ce qu'ils ont de plus con...Dans un milieu ou le pouvoir est masculin (comme dans la société entière, qui est très sexiste et misogyne..)Lien : La misogynie , les femmes pour se sortir de la condition précaire qu'on leur attribue, tentent inconsciemment d'imiter les modèles masculins dominant dans le lieu d'où elles sont issues et ou elles vivent...

Dans notre société, tout est fait pour diviser les gens entre eux, les gens des quartiers représentent un groupement de cette division, que le système ne veut pas voire mélangé avec d'autres groupements, exacerbant les peurs, le vote FN et la confusion entre violence et origine géographique, ethnique ou confessionnelle.Lien : Laïcité et racisme .
Les gens des quartiers représentent de même plusieurs groupements, divisés entre ceux qui se rebellent face à leur place dans la société, ceux qui sont résignés, ceux qui se rebellent face à leurs voisins "racailles", qui sont violents, vendent du shit...En votant FN...Il y a aussi les quartiers divisés entre eux, un peu comme à la campagne, "le village du voisin, c'est des cons, le voisin c'est un con...Regarde le celui là, il n'est pas d'ici, y'a que des gens d'ici chez moi, les autres c'est des cons...". Lien : LA FRANCE A PEUR...

En résumé, ne pas voire plus loin que le bout de son nez, revient à dire que toutes les violences issues de quartiers sont dues aux jeunes de quartier. Voire plus loin serait de dire que si certains jeunes, minoritaires dans la population des jeunes de quartiers, sont amenés à filer un mauvais coton et à devenir ce qu'on appelle de la "mauvaise graine", cela a des raisons. Les analyser et mieux comprendre comment ces jeunes ont été amenés à se comporter de façon violente, fasciste et stupide, fera plus avancer les choses que de simplement et bêtement les stigmatiser un peu plus que ce que la société fait déjà. Il en va de même pour comprendre toutes les autres stupidités du monde, comme ce qui amène des gens à voire en la jeunesse violente de quartier, les causes d'un problème et non leurs conséquences, comme c'est souvent le cas pour les électeurs FN...

Lien : Discrimination islamophobe : agir sur les causes et non sur les conséquences des problèmes...

10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 14:22

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Je suis heureux !

Ce qui manque...

C'est triste...

 

"Oui je crois en dieu, certes il n'en sait rien", j'aime bien cette phrase et je trouve qu'elle résume bien une croyance religieuse saine. Je ne suis pas croyant moi même, mais parfois j'essaye de me projetter à la place des autres, pour mieux les comprendre. Il n'y avait donc pas de raison que je ne le fasse pas pour les "croyants".

 

En tentant de me mettre à la place de ces "fous de dieu", j'essaye de comprendre comment la croyance qu'ils ont, prend un rôle central dans leur vie. La plupart du temps, les croyances sont issues du milieu sociétal et famillial traditionnel, duquel l'individu croyant est issu. Il grandit alors et se forge un esprit critique et indépendant, ou pas et se détache ou pas de ces croyances héritées. Il pourra croire en autre chose, ne croire en rien...

 

De nombreuses valeures issues des religion sont loin d'être dénuées d'intérêt. La société civile s'en est inspiré de certaine pour l'édiction de ses règles, normes et lois. "Tu ne tueras point, tu ne volera point", effectivement c'est plus sympa d'interdire cela quand on vit à plei dans un lieu donné. Après, comme quand toute religion devient dogmatique pour le civil et se mêle du temporel, soit de ce qui ne la regarde pas, ça donne des trucs à la con genre, "tu ne convoitera pas la femme de ton prochain", ou encore d'autres règles bien misogynes et homophobes...Je conclus personnellement de ces règles, que je ne vole pas, je ne tue pas (pas encore du moins..parfois la tentation est forte...), mais que je convoite la femme de mon prochain, si l'envie m'en prend et qu'il faudrait faire manger un ostille de merde au responsables de chaque acte sexiste ou homophobe, dès qu'ils les comètent..

 

Selon moi, si l'on est croyant et pas trop con, cloisonnant ou fasciste, bref ouvert d'esprit, on peut l'être sans emmerder le monde et faire que cette croyance nous sublime dans notre vie spirituelle et même civile..

 

Quand une personne est croyante, elle ne vit toute fois pas sur une autre planète (mis à part les grands ascètes, ermittes ou moines, qui voient très rarement des personnes de la vie civile normale..). Elle est donc asujetti, au moins un minimum, aux valeurs que la société civile, la norme sociétale, enseigne et dissémine. De nos jours, la société exacerbe l'individualisme, l'égocentrisme...Tout doit être centré sur soit et son intérêt personnel doit primer sur celui des autres, ou de la collectivité. C'est le fameux, "diviser pour mieux règner", qui permet à notre système de mieux pouvoir guider ses moutons à son profit..La société est le "fuhrer" (le guide en allemand..), elle fonctionnerait donc selon un modèle ressemblant au fascisme...

 

Ceci résulte au fait que dans la pratique religieuse, beaucoup pensent que dieu n'existe que pour eux, pour leur être utile, leur rendre des services, leur faire du bien. Ils ont besoin de reconnaissance, même de dieu. Ils se pensent, se croient exceptionnels, au point que le dieu de tant de personnes, devrait s'occuper d'eux prioritairement. Pourtant, si l'on suit les précpètes religieux de façon plus objective, on se rend compte que la croyance en un dieu doit être desinteressée, ne doit pas attendre de récompense. "Dieu reconnaîtra les siens", comme on dit...On croit et dieu n'en sait rien et c'est cette croyance, cet espoir en un monde meilleur après la mort, monde meilleur mérité par les épreuves que l'on a surmonté dans ce monde ci, qui rend la vie plus belle..Il n'y a donc ici, pas d'utilitarisme, de profit immédiat, d'individualisme et d'esprit de concurrence exacerbé. Il n'y a que des humains qui croient, qui aident, qui aiment qui pardonnent et qui ont l'espoir d'un monde meilleur et de l'amélioration de celui-ci...Rien de malsain à priori...

 

La religion, ça n'est pas que penser à votre gueule. Oubliez vous un peu, oubliez votre dieu et vivez d'une façon conforme à votre morale, à vos espoirs, sans emmerder ceux qui n'auraient pas pris le même chemin que vous...La croyance peut-être une bonne chose, elle peut aussi être une folie...

9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 22:12

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Les précurseurs crée leurs prédécesseurs...

Le passé appartient à ceux qui se lèvent tard.

L'exactitude subjective

 

Je me rappelle quand j'étais enfant, que je faisais des conneries, comme le font tous les enfants et qu'on me disais "t'as pas honte !". Je m'en rappelle parce que je ne comprenais pas le concept. Avoir honte, je ne savais pas ce que c'était, j'en avais aucune idée, ça ne rentrait pas encore dans mon logiciel.

 

A force de travail de persuasion, la société m'a prouvé, ou plutôt m'a persuadé, que je devais avoir honte à chaque fois que je faisais quelque chose qui allait à l'encontre des principes qu'elle inculque, principes suivis par une grande majorité. Cette grande majorité agit alors dans une sorte de rôle d'inquisiteur et brandit au visage de tous les enfants déviants, le slogan suivant, "t'as pas honte !".

 

Alors la honte vient, on ressent cette gêne, ces complexes, ces frustrations, ça n'est vraiment pas agréable. Alors on fait tout pour ne plus avoir à ressentir cela et l'on se conforme, de plus en plus, jusqu'à s'assurer d'être assez conformiste pour ne plus prendre aucun risque de pouvoir ressentir cette honte à nouveau. Mais elle revient toujours, parce que les valeurs et les normes de la société bougent et la société courre après, de plus en plus vite, pour pouvoir s'y conformer.

 

Petit, je ne me comportais pas comme mes petits camarades en classe, alors j'ai du aller faire des tests pour vérifier si j'étais débile mental. J'ai vu des psychologues, j'ai du mettre des cubes dans des trous carrés, faire des desseins de bonhomme sans bras...Traité comme un taré, j'ai finis par y croire..Un enfant est crédule et tend à donner beaucoup de valeur à la parole des adultes, même quand les adultes sont de gros cons. Les adultes eux, sont aussi des enfants et leurs adultes à eux, sont les normes disséminées par la société. Ils sont crédules par rapport à elle et leur accorde une grande valeur. La honte est un garde fou, s'en détacher est se libérer de la vénération parentale, surtout lorsque ses parents sont la norme sociétale, dirigée dans le but de manipuler les masses d'esclaves moutons..(Mais ça je le répète assez, certain diront que je radote).La culture, l'éducation familliale transmettent cette tradition, ces coutumes, ces valeurs, cette culpabilisation, cette menace de marguinalisation, cette honte...

 

N'ayez plus honte les amis ! Faites se dont vous avez envie, sans toute fois atteindre les limites de la cruauté, du mépris et de quelques autres mauvais sentiments..Après tout, la convivialité est déjà une sorte de rebellion dans une société qui veut diviser les masses, pour qu'elles se foutent sur la gueule, ne menaçant pas ainsi, l'ordre morale établit.

8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 11:54

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La la la la la, la la la la, je suis heureux et c'est aussi interessant à écrire que la la la la, la la la la, youpi tralala je suis heureux. Alors pour bien foutre les nerfs à tous ceux qui ne le seraient pas, je vais aller publier quelque chose qui dira à ceux qui lisent cet article, que je suis heureux et qu'il faut m'admirer pour cela. Oui j'ai atteint le mode "perfect" du système qui m'a fait être heureux malgré ma condtion d'esclave...Un imbécile heureux ? Oui et alors, je vous emmerde, on m'a dit d'être individualiste, égocentrique et de ne pas regarder trop ailleurs, que dans mon accomplissement personnel..

 

Quoi, vous êtes malheureux vous ? Ben tanpi pour vous, nous vivons dans une superbe société dont tout le monde profite..A des degrés divers, très divers..Certes...Mais ne soyez pas jaloux, plutôt que de vous lamenter sur votre sort, tentez vous aussi votre chance à la roue de la fortune du bonheur, état perpétuel espéré, comme un gros lot de la loterie. Moi je l'ai gagné par une simple décision de ma part, j'ai décidé de faire ce qu'on me dit, d'être heureux et voilà...Magie de la manipulation mentale, me voilà aux combles du bonheur maintenant...C'était pourtant si simple, j'aurais du y penser avant !

 

Voilà, je suis heureux, malgré les famines que mon mode de vie voulu, me font cautionner passivement (lien : Du sang sur les mains ). Je suis heureux malgré ma condition d'esclave, je suis heureux malgré les manipulations que je subis, je suis heureux malgré l'empoisonnement de notre environnement, je suis heureux malgré tout, parce que j'ai décidé de me foutre de tout ce qui pourrait altérer ma condition d'homme heureux, en harmonie avec le système.

 

Peut-être suis-je ironique..Peut-être que je suios en train de me foutre de la gueule des masses à la bonne conscience déblatérée, qui n'a de cesse de se complaire dans ses petits bonheurs quotidien, masquant au mieux les malheur des autres, dont leur façon de s'expimer dans le bonheur est souvent responsable...Soyez heureux en exploitant, soyez heureux en dominant, soyez heureux de la place au soleil que vous avez acquise, profitant de petit plaisirs de privilégiés, que d'autres ne pourront percevoir que dans leur sommeil...(Lien : Je me baladais...   Les rêves des autres...la chanson. )

 

Je suis bien conscient que pour aider les autres, il faut déjà s'aider soit même. N'est-ce pas dieu qui a dit, "aide toi et le ciel t'aidera " ? Je ne suis pas contre le principe, je trouve simplement que dans notre société actuelle, ou paradoxalement le mal être des populations à rarement été aussi fort, l'exacerbation de l'idée du confort personnel, du bien être personnel, est trop grande pour être honnète.

 

Voyez la psychanalyse par exemple, un truc inventé par Freud, un timbré narcissique notoire. Quand on va chez le psy, on nous dit qu'il faut s'occuper de soit, que tout notre monde tourne autour de notre petite personne. On exacerbe par cette méthode de soit disant soin, l'égocentrisme, le narcissisme, l'égoïsme...Les gens n'ont jamais autant été chez le psy et pourtant, les gens n'ont jamais été aussi déprimés, la France à le record mondial de la consommation d'anti dépresseur..Pourtant, on continue à penser ce genre de méthode de soin, comme les plus légitimes..

 

Alors, d'autres tentent de trouver des méthodes alternatives à leur bien être, ils méditent, font du yoga, prennent de la drogue ou encore se branlent trois fois par jour...C'est bien de vouloir aller bien, mais il y a aussi un moment ou il ne faut pas penser qu'à ça, mais à notre avenir collectif, parce qu'avec le monde pourri qu'on se coltine et qui empire jour après jour, c'est pas avec vos techniques de relaxation à la con, que vous allez rester zen longtemps. Ah, la société du profit immédiat, on fait sa petite relaxation et ça va mieux...Si ça ne va plus deux jours après, on refait une petite relaxation...Quoi ça ne change rien au fond du problème ? Et alors, il sera toujours temps de se refaire une autre relaxation quand ça sera à nouveau nécéssaire...Ca me rappelle un peu les gens qui fument des joins. Ils sont stressés, ils veulent se détendre, fument et ça va mieux. Ils ne résolvent pas leurs problèmes, mais lorsqu'ils sont sous l'effet du THC, ils s'en foutent simplement...Leurs problèmes ne se résolvent pas, ils les laissent trainer sans les résoudre et plus le temps passe, plus les problèmes s'accumulent et plus ils nécéssitent de relaxation...Au final, trop de relaxation tue la relaxation, elle ne fait plus d'effet et l'effet recherché au départ se transforme en l'effet inverse et l'on devient victime de l'addiction à la recherche de détente, à la recherche d'oubli, de fuite...

 

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